Berger grec au bord de l’étang
Il regarde la bouche formé par le temps
Sur les bords, de l’herbe fleurit
De l’Amour, il est épris
Il ne sait quoi dans l’Air est doux
Ses yeux se plissent sous le redoux
Il songe aux filles là-bas en ville
Il devient mélancolique, il rêve d’idylle
Il aimerait à la place de son troupeau de chèvres
Un groupements de jeunes grecques
Assises à écouter son air de flûte
Et à chanter son amour brute